La pompe à chaleur, un choix gagnant ! 

Ou comment associer chauffage, économies d’énergie et protection de l’environnement.
Le coût de l’énergie peut toujours s’envoler, nos experts l’envisagent avec sérieux depuis quelques temps déjà…

Mais savez-vous que vous pouvez vous affranchir de cette dépendance, en réduisant à la fois votre facture de chauffage et son impact sur  l’environnement ?

La pompe à chaleur est économique et émet peu de CO2 car elle produit de la chaleur en ayant majoritairement  recours à des sources d’énergies naturelles, renouvelables et gratuites comme l’air, par exemple. C’est le principe de la thermodynamique, utilisé pour le chauffage mais aussi pour la production d’eau chaude sanitaire (ECS).

Bon à savoir :

Bénéficiez tout de suite d’un équipement 2 en 1 !

  • Avec la pompe à chaleur air air : chauffage en hiver + rafraîchissement en été
  • Avec la pompe à chaleur air eau : chauffage + eau chaude sanitaire

La chaleur naturelle, une énergie renouvelable

Le choix d’une pompe à chaleur (PAC) comme mode de chauffage ou climatisation vous assure une économie d’énergie considérable… Mais où trouver la chaleur et quelle pompe à chaleur choisir ? Petit tour d’horizon…

L’aérothermie

La pompe à chaleur capte les calories présentes dans l’air extérieur, car même par -15°C, il y a toujours des calories dans l’air !

Cette source de chaleur est gratuite, renouvelable et facilement exploitable : son extraction ne nécessite que l’usage d’un groupe extérieur pouvant très facilement s’installer sur un balcon ou sur une terrasse.

On distingue deux types de pompes à chaleur aérothermiques : la pompe à chaleur air/air et la pompe à chaleur air/eau.

Bon à savoir : Il est important de tenir compte du climat local dans le choix de la pompe à chaleur.

Plus de 80% des PAC vendues en 2008 étaient aérothermiques (estimation Mitsubishi Electric climatisation)

La géothermie

La pompe à chaleur capte les calories grâce à des capteurs enfouis dans le sol. Il existe deux types de capteurs, horizontaux et verticaux.

Bon à savoir :

  • Les capteurs horizontaux nécessitent une surface de terrain importante : jusqu’à 2 fois la surface habitable.
  • Il est interdit de planter des arbres dans le terrain occupé par le réseau de capteurs.
  • Un sol meuble est préférable à un sol rocheux.
  • Les capteurs verticaux sont plus performants dans la durée que les capteurs horizontaux, mais cette solution oblige un forage parfois coûteux.
  • Les sous-sols et leur protection sont soumis à la réglementation.

Vous souhaitez un renseignement ou bien obtenir un devis ?